Poème ~ Lutte français Pour Dirt - Mardi 11 Janvier 1916

Impression croquis de soldats français déménager vers monticule de terre - par Jamie.

Dans les hostilités sur les terres de 1916,
Chaque morceau de terre a été battu pour -
Chaque pouce, chaque pied, chaque cour
Est devenu un défi à accrocher.

Entre chaque système de tranchée
Et les travaux de terrassement, rez baratté
Perdu ou gagné, encore et encore;
Devient une situation de 'donner et prendre'.

Pour cela, les entreprises intrépides
Du soldat français était inestimable
Toute terre prises, elles cherchent à retrouver;
Le poilu jamais été conçu comme 'bas'.

Dans la vallée de l'Aisne,
Sur le bord de cette eau nommé
Way, était un monticule de terre
Entre les messages français et allemands.

Avec la décision d'acquérir le monticule
De la terre, à gauche un sous-officier
Officier avec quinze poilu, se déplacer
En cours silencieuse des tranchées.

Outward qu'ils rampaient partout
Filth de terre ou les enchevêtrements de fils,
Et à parcourir la rivière pour atteindre
Leur but - le sommet de cette butte.

Dans le silence de la nuit de l'obscurité,
Ils ont creusé des tranchées se
Et une pirogue robuste - où ils sont restés

Pendant quarante-huit heures.

Sur les buttes exposés
Situation, leur attente
Pour obus ennemis de cibler,
Pris d'une souche sur leurs nerfs.

Quand le temps prévu est arrivé;
8in batterie allemande a commencé
En rafale d'obus - les Français
Ont trouvé refuge dans leur pirogue.

Hiss et de crash - sifflement et accident -
La terre de leur corps
Les secoua à l'âme - presque
Pour tomber sur eux quand le feu a cessé.

L'air susceptibles retentit dans le silence,
Comme émergé les Français secoué,
Et regarda vers l'ennemi,
Puis de voir quarante hommes allemands.

Un ennemi pensait que le français
Avait été soufflé loin - pour définir
Pour réparer la première tranchée française,
Pris à leurs propres fins.

Une fois réparé les quarante chiffres
Déplacé vers la ligne suivante -
Le Français a plongé de nouveau dans
La pirogue et gardé un silence.

À quelques pieds de distance des Français
Les Allemands regarda autour
Pour ne pas croire en restait plus qu'un -
Sans la peine de vérifier pirogue.

L'entrée peut seulement permettre
Un à la fois à bord grâce à -
Mais la terre brisée suggéré comment
Coquilles avaient conduit français loin.

A partir de ce précaire, entourée
position dans un effondrement possible
pirogue, un caporal volontaire
Partez à informer les troupes françaises.

La bravoure de ce caporal,
Saw ramper loin à travers
Le sol, en glissant dans l'eau
A proximité de l'ennemi.

Patauger la rivière, le caporal
Atteint le commandant,
Qui a pris le message, mais dit
Ils pourraient donner aucun renfort.

«Ils doivent faire ce que vous avez fait, '
Étaient les paroles rapportées - ainsi
Le caporal retourné à eux
Qui attendait anxieusement pour mot.

Sans débat, ils respectées -
Donc, à des intervalles de deux minutes chacun,
Les seize glissé par l'allemand
Positions et ensuite à travers la rivière.

Lorsque au point de la dernière
Homme faisant revenir à la ligne,
Les Allemands se rendent compte de leur
Présence au feu - que trop tard.

par Jamie Mann.

Anon. 1916. Guerre des tranchées - Frenchmen exploit - Passionnante aventure. Le Daily Telegraph, [en ligne] 11 Janvier 1916. P.5. Col.4. Disponible à: http://www.telegraph.co.uk/news/ww1-archive/12085369/Daily-Telegraph-January-11-1916.html [Consulté le 11 Janvier 2016].

Mann, J., 2016. il ya 100 ans - Poèmes de Jamie Mann. [lettre] (communication personnelle, le 11 Janvier 2016).

http://www.telegraph.co.uk/news/ww1-archive/12085369/Daily-Telegraph-January-11-1916.html

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